Jean-Marie Guyau Tuillerie (28 de octubre de 1854 - 31 de marzo de 1888), lanza en
L’irrèligion de l’Avenir (1887) una pregunta que yo hasta ahora se la había atribuía a Fukuyama: "¿Por qué valor estamos dispuestos a dar la vida?" En
El fin de la historia, Fukuyama considera que en el silencio que acompaña hoy a esta pregunta se encuentra la prueba que confirma su tesis.
Guyau plantea la cuestión de esta manera: “On peut se juger soi-même et juger son idéal en se posant cette question : pour quelle idée, pour quelle personne serais-je prêt à risquer ma vie ? — Celui qui ne peut pas répondre à une telle interrogation a le coeur vulgaire et vide ; il est incapable de rien sentir et de rien faire de grand dans la vie, puisqu’il est incapable de dépasser son individualité ; il est impuissant et stérile, traînant son moi égoïste comme la tortue sa carapace. Au contraire, celui qui a présente à l’esprit la pensée de la mort en vue de son idéal, cherche à maintenir cet idéal à la hauteur de ce sacrifice possible ; il puise dans ce risque suprême une tension constante, une infatigable énergie de la volonté”.