Gustave Flaubert, carta a Louise Colet (13 de diciembre de 1846):
Comme si ce n'était pas assez de toutes les pourritures et de toutes les infections qui ont précédé notre naissance et qui nous reprendront à notre mort, nous ne sommes pendant notre vie que corruption et putréfaction successives, alternatives, envahissantes l'une sur l'autre. Aujourd'hui on perd une dent, demain un cheveu, une plaie s’ouvre, un abcès se forme, on vous met des vésicatoires, on vous pose des sétons. Qu'on ajoute à cela les cors aux pieds, les mauvaises odeurs naturelles, les sécrétions de toute espèce et de toute saveur, ça ne laisse pas que de faire un tableau fort excitant de la personne humaine.